Nous quittons la petite île d’Itambira la tête pleine de souvenirs, heureux d’avoir pu partager ces moments avec la communauté locale, un peu tristes de partir, surtout Léa qui s’était beaucoup investie auprès des enfants.

Nous partons pour Kampala, capitale ougandaise.

Kampala

Et pour atteindre la capitale, nous prenons des bus locaux. De vieux bus des années 40, sans clim, bondés. Tant bien que mal, nous trouvons ici et là des places de dispo. Première épreuve de bus local pour les filles, qu’elles remportent haut la main !! Lily reste stoïque, Léa prend son mal en patience. C’est bon, on sait qu’avec elles on peut aller au bout du monde !

L’arrivée à Kampala est un choc. Après notre séjour sur notre paisible et tranquille petite île, Kampala détone. Du bruit, du monde, des voitures, des motos, encore des gens, encore des motos, que l’on appelle bodas bodas… Les bodas bodas, ce sont des mototaxis avec selle allongée pour accueillir deux personnes en plus du conducteur. C’est le moyen de transport de prédilection de l’Ouganda. Peu cher et pratique, tout le monde les utilise. Et on estime à 300 000 le nombre de bodas bodas, qui circulent dans les rues de la capitale.

Nous avons réservé deux chambres dans un hôtel local au cœur de la vieille ville, en plein milieu du chaos.

Allez, nous décidons d’aller voir d’un peu plus près à quoi ressemble Kampala, on descend marcher dans la ville.

Et nous découvrons que marcher dans la ville est déjà une épreuve en soi. Il faut réussir à se frayer un chemin entre les bodas bodas, les hommes qui portent des charges énormes sur leurs dos, et les milliers, que dis-je, millions de personnes qui évoluent dans la ville. De mémoire de voyageurs, nous n’avions jamais vu autant de gens regroupés au même endroit. Un flot continuel de personnes qui vont et viennent entre les échoppes croulant sous les marchandises, robes, balais, chaussures…

L’expérience est incroyable, la ville impressionnante, mais nous ne sommes pas prêts. Le contraste est trop saisissant avec notre séjour au sein de la campagne ougandaise.

Nous tentons de nous réfugier dans notre hôtel, mais d’ici, le bruit est assourdissant. De notre chambre, on entend la circulation, les klaxons, et les haut-parleurs qui scandent en boucle une phrase dont on ne connait la signification, mais qui s’insinue dans notre conduit auditif et remonte jusqu’à notre crâne encore et encore jusqu’à nous donner des envies de meurtres d’haut-parleurs.

Allez, on passe la nuit et on s’échappe de Kampala. Demain, on va à Entebbe.

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Paisible Entebbe

À une heure de route au Sud de Kampala se trouve Entebbe. Là-bas, nous retrouvons un havre de paix. Nous dormons dans une maison au sein d’un joli quartier résidentiel à quelques pas du Lac Victoria.

Le lac Victoria… Rien que le nom est enchanteur. Plus grand lac d’Afrique, il est à la frontière entre trois pays, l’Ouganda, le Kenya, la Tanzanie. Une vraie mer au cœur de l’Afrique ! C’est aussi ici que le Nil prend sa source, pour ensuite aller se jeter dans la Méditerranée quelques 6700 kilomètres plus loin.

A quelques kilomètres au sud seulement se trouve également la ligne équatoriale.  Nous sommes au milieu de la terre !

Entebbe est une petite ville paisible et touristique, accueillante. Nous nous déplaçons en boda boda, ces fameuses motos à trois places, une fille au milieu, nous derrière. Léa en raffole littéralement. Et nous croisons souvent ces immenses oiseaux de la famille des cigognes, les marabouts. Ils errent ça et là à la recherche de nourriture, en particulier à proximité des décharges ou près des bateaux de pêche.

Mzungu

Evidemment, notre couleur de peau ne nous laisse pas passer inaperçus. Partout et tout le temps, les gens nous regardent avec curiosité, sans animosité, nous saluent et souvent nous sourient. Les enfants nous montrent du doigt et nous désignent : « Mzungu ». Le terme Mzungu, qui se prononce Mouzoungou, qualifie les personnes étrangères, et plus particulièrement les blancs. Après quelques recherches, nous nous rendons compte que ce terme vient du 18ème siècle et signifie « wanderer » ou « celui qui erre » en français, et désignait les premiers explorateurs et commerçants qui se déplaçaient sans but… Et cela nous va si bien ! Car c’est bien de cela dont il s’agit : un voyageur se déplace sans but, seulement pour la découverte et le plaisir de l’œil qui se pose sur l’inconnu. On est heureux et chanceux d’être des Mzungus !

L’accueil des ougandais est d’ailleurs exceptionnel. Partout où l’on va, les gens sont extrêmement serviables et reconnaissants. À chaque fois que l’on se rend dans une boutique ou que l’on utilise un service, on nous remercie de soutenir l’économie locale. Le touriste ici est plus que bienvenue, les ougandais sont heureux qu’il soit là, et nous le montrent si bien !

En route vers les girafes !

Si nous sommes en Afrique, c’est un peu pour elles aussi, alors on a cassé la tirelire pour aller dans le plus grand et le plus ancien parc national d’Ouganda, le parc de Murchison Falls, au nord du pays. Et puisque nous sommes en hors saison et que nous sommes quatre, nous partons en tour privé !

Après six heures de route, nous partons rendre visite aux fameuses chutes de Murchison. Une petite randonnée de 45 minutes nous permet de les admirer vue d’en haut, et sincèrement elles nous impressionnent. Le Nil blanc part du Lac Victoria pour venir se jeter dans le lac Albert et passe à cet endroit dans un goulet réduit à 7 mètres de large. Il en résulte l’une des chutes d’eau les plus puissantes du monde. Winston Churchill avait fait mettre en place un pont suspendu juste au-dessus pour que les riches touristes anglais puissent les admirer vue d’en haut. Celui-ci a été emporté en 1962 lors d’une crue gigantesque. Aujourd’hui, on peut les admirer d’un belvédère construit en face, et les filles sont heureuses de se faire arroser par la rafraichissante brume qui arrive jusqu’à nous.

Safari !

On en avait toujours rêvé sans jamais penser pouvoir le faire un jour. Et nous voilà au petit matin, partant à la rencontre des animaux sauvages d’Afrique. À peine sortons nous du camp que nous croisons sur la route un hippopotame surpris par la lumière de nos phares. Accompagnée d’une ranger du parc, nous voici bientôt dans la savane. « On ne peut rien vous promettre, on ne sait jamais quels animaux on peut voir, mais on fera de notre mieux, selon vos attentes, nous dit Eliane la ranger. Quelles sont-elles, justement, vos attentes ? ». En vérité on n’en a pas tellement, on est déjà tellement heureux d’être là ! Enfin… Lily attend quand même de voir les girafes, vous l’aurez compris, et Léa, elle, rêve des éléphants.

« Les girafes ? Ah ça, pas de problème, on en verra ! nous répond Eliane. Quand aux éléphants… On fera de notre mieux ».

Je ne détaillerai pas notre safari et les animaux que l’on a vu, Léa le fait très bien dans son journal, toutefois, je ne dirai qu’une chose : cela a été bien au-delà de ce que l’on pouvait imaginer. Nous avons eu la grande chance et l’heureuse surprise d’approcher plusieurs familles de lions, des antilopes par centaines, des phacochères, chacals, vautours… Et évidemment des dizaines et des dizaines de girafes, superbes et élégantes. À la toute fin de notre périple, Léa aura la chance d’observer des éléphants. Nos deux filles repartent les yeux émerveillées, heureuses d’avoir pu réaliser un de leurs rêves. Quel bonheur d’avoir pu partager ce moment avec elles !

L’après-midi, nous continuons notre périple en bateau. Des dizaines d’hippopotames sont immergés dans l’eau, somnolents d’un œil, à proximité de la rive où dorment les crocodiles. Les martins pêcheurs plongent dans l’eau alors que les tisserins virevoltent dans les arbres autour de leurs nids en forme de boules tressés. Quelques éléphants s’approchent de la rive pour boire à la rivière. Nous profitons de ces moments de sérénité le long du Nil, heureux.

« L’aventure » Rhinocéros

Pour terminer notre découverte du monde animalier africain, nous partons au sanctuaire des Rhinocéros Blancs de Ziwa. Ces derniers avaient complètement disparus d’Ouganda dans les années 80 après avoir été massacrés pour leurs cornes… qui avaient la malchance d’être réputés être aphrodisiaques. Dans les années 2000, quelques rhinocéros kenyans et d’autres venus du parc animalier Disney aux Etats-Unis ont été réintroduits sur ce territoire… et ont donné naissance à un premier bébé en 2009. L’animal aux origines américano-kenyan fut baptisé du nom d’Obama. Depuis, les rhinos bien en sécurité sur ce territoire continuent de faire des petits. Aujourd’hui ils sont 39, et lorsqu’ils auront atteint le nombre de 50 seront réintroduits dans certains parc nationaux du pays.

Jonathan notre ranger nous emmène voir une famille de rhinos… qui broutent à 200 mètres à peine du bâtiment d’accueil. Après avoir admiré ces animaux incroyables, notre ranger nous demande si nous voulons en voir d’autres dans la nature.

« Oui ok ! » Vu qu’on est là, autant aller se promener en brousse. « Je ne sais pas si nous pourrons en voir d’autres aussi bien que cela. Ce n’est pas facile de les observer dans le milieu sauvage. » Ce n’est pas grave, au pire ça nous fera une petite balade !

Jonathan nous montre les traces de rhinocéros. « Cela doit être par là, suivons les traces ! » On marche à la queuleuleu en silence histoire de ne pas déranger la faune locale. On marche. Pas de rhino en vue. « on va aller dans cette direction, puis revenir sur nos pas, pas sûr que l’on en voit » . Pas de souci, on aura essayé ! Il fait chaud et humide, et Léa commence à fatiguer. « On rentre maman ? » « Bientôt ma chérie ». Cela fait près d’une heure qu’on marche, nous retournons sur nos pas.

« Là-bas, regardez ! nous dit Jonathan. » Trois rhinos se reposent, à l’ombre.

« Ce sont la maman, son bébé, et un mâle adolescent qu’elle a adopté. » Les mamans rhino donnent naissance à un bébé de 50 kilos, s’en occupe jusqu’à ses trois ans, puis le chasse lorsqu’elle retombe enceinte pour s’occupe du suivant. Le jeune rhino est donc livré à lui-même, et part chercher une famille d’adoption au sein d’autres clans.

« Vous voyez, on a l’impression que ces rhinocéros sont seuls au milieu de la brousse, mais en réalité ils sont surveillés de près 24h sur 24. »

Nous voyons alors un garde sortir des fourrés juste derrière. « Charles et son collègue sont chargés de surveiller cette famille de rhinos et sont en faction durant 24h. Ils les observent et les protègent d’éventuels braconniers. Il y a 80 gardes-faunes dans le parc qui s’occupent de garder les animaux. »

Nous sommes à quelques pas de notre véhicule. Seb et moi on se regarde : oui oui, Jonathan nous a bien eu avec sa traque aux rhinos, il savait pertinemment où ils se trouvaient, mais a voulu nous offrir un semblant d’aventure !! Ok, c’est de bonne guerre, on est des touristes et il faut bien qu’on en ait pour notre argent…

La « Hors Saison »

Depuis que nous sommes en Ouganda, nous ne croisons que très peu de touristes. Nous sommes en mars, c’est la saison des pluies, et les tous les guides l’affirment, ce n’est pas une bonne saison pour visiter le pays, pour voir les animaux… Et bien pour nous, c’était la meilleure saison qu’il soit ! Pas de souci pour réserver des logements, ils sont tous libres, les ougandais sont hyper heureux que nous soyons là et nous reçoivent comme des rois, et les animaux… Et bien je pense qu’on en a vu beaucoup, en tout cas suffisamment pour nous satisfaire !

Et la pluie ? Franchement, à part sur le lac Bunyonyi où la pluie était assez fréquente et les températures basses du fait de l’altitude (2000 mètres), elle ne nous a pas du tout dérangée. Le ciel crève parfois et déverse son trop plein, mais cela ne dure jamais très longtemps.

Enfin, la température est juste idéale. En moyenne 20 à 25 degrés tous les jours, un peu plus chaud lorsqu’on descend en altitude. L’Ouganda se trouve sur un haut plateau à une altitude moyenne de 1400 mètres, alors même si l’on est proche de l’équateur, les températures restent douces tout au long de l’année ! Bref, on est très heureux d’être venus en Ouganda durant la « mauvaise » saison.

Trois jours

Il nous reste trois jours seulement avant de décoller de Kigali. Trois jours, c’est peu. Le temps est passé à vitesse grand V ici, et nous aurions largement pu rester plus longtemps. Ou plutôt aimé rester plus longtemps. L’Ouganda est un véritable pays coup de cœur, un pays dans lequel on se sent bien. On aime manger dans les stands de rue, goûter à leurs chapatis, à leurs katogos et surtout à leurs rolex ! Le rolex, c’est une omelette enroulée dans un chapati, un véritable délice. Les filles en raffolent !    

Avant de rejoindre Kigali et le Rwanda, nous partons découvrir une autre région du pays : Fort Portal.

Fort Portal

Fort Portal est une petite ville située au pied des montagnes Rwenzori. La région est superbe, et le point de départ pour de nombreux parcs nationaux alentours.

Nous, on prend un boda boda pour nous rendre aux grottes de… Alors pour les grottes, faudra repasser, par contre, la balade aux alentours est exceptionnelle. Cascades, lacs, anciens volcans, et en toile de fond les hauts sommets des Rwenzori, on en prend plein la vue. Le nom des montagnes vient d’ailleurs de « faiseur d’eau », car elles arrêtent les nuages et reçoivent toute l »année une pluie bienfaitrice. Ici, le paysage est toujours vert. Et le plus haut sommet est à 5100 mètres d’altitude. On y trouve d’ailleurs de la neige !

Un pays en dictature

Le président Yoweri Musevini a été élu pour la première fois en 1986. Depuis, il s’est fait réélire à chaque nouvelle élection, et parfois les ougandais se confient à moi sur le sujet.

« Musevini ne veut pas lâcher le pouvoir. Il change la constitution selon son gré pour pouvoir rester en place, me raconte Alex. »

« Vous avez pourtant des élections ? »

« Oui, mais elles sont truquées. La police est corrompue, elle rajoute des bulletins de vote ».

En effet, nous avons pu voir les agents de police à l’œuvre. Lors de nos trajets, les véhicules ont été très souvent arrêtés, et parfois, nos chauffeurs s’en sont sortis moyennant un petit billet donné discrètement dans la main de l’agent.

« Le président a mis toute sa famille en place au pouvoir : sa femme est ministre de l’éducation et des sports, son fils est général dans l’armée, et sa fille est à la tête de plusieurs entreprises.

Et nous les ougandais, on doit payer énormément de taxes et notre train de vie n’augmente pas. C’est compliqué d’avoir de l’argent ici. Manger n’est pas un problème. Nous avons de nombreuses ressources agricoles et ce n’est pas cher. Tout le reste par contre… L’école des enfants qui est payante, l’électricité, l’essence, même le bois ou le charbon pour cuisiner. Tout vaut une fortune. »

« Le président est beaucoup trop vieux, on voudrait changer les personnes au pouvoir, mais on ne sait pas comment faire. Si on en parle, on risque de se retrouver dans un fossé… Je n’ai d’ailleurs pas le droit de t’en parler… »

Alex nous conduit jusqu’à Mbarara. Autour de nous, le paysage est de toute beauté, douces montagnes vertes de patûrages ou plantées de champs de café.

« Vous avez pourtant une terre exceptionnelle, de l’eau, une température idéale, un cadre de vie idyllique. »

« Oui, notre terre est bénie des Dieux. Mais nous, ougandais, on se bat chaque jour pour survivre… »

Clap de fin… de première partie

Nous repartons pour Kigali en bus. Un bus nettement plus confortable que les précédents, on a de la place, et on voit même à travers les vitres ! Devant nous, des écrans diffusent en boucle des clips de chansons chrétiennes. Aujourd’hui, c’est dimanche des rameaux, et dans tous les villages que nous croisons les habitants se sont mis sur leurs 31 pour écouter la messe. Les vendeurs de rue ont troqués les ananas contre des rameaux.

Notre bus grimpe les lacets jusqu’à la frontière, retour au Rwanda. Nos sacs sont minutieusement inspectés, pas question de faire entrer le moindre sac plastique ! Voilà, notre histoire avec l’Ouganda s’achève. Pays surprise, pas forcément sur notre itinéraire, il a su nous charmer par la beauté de ses paysages, la gentillesse des gens, notre rencontre avec les enfants de l’île sur le lac Bunyonyi, la découverte des animaux sauvages, les bodas bodas, les rolex mangés dans la rue… Première étape de notre voyage, l’Afrique nous a donné bien plus que ce nous attendions… On continue ? Prochaine destination : Santiago du Chili, en Amérique du Sud !

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Cet article a 22 commentaires

  1. Pasco

    Encore un grand merci pour nous faire partager cette aventure pleine de rebondissements. Bonne continuation, bon voyage.
    Philippe.

  2. Kitzing Michel et Lucienne

    merci pour ces belles aventures et bonne continuation en Amérique du SUD ou d’autres péripéties vous attendent… mais que devient Super Meuh dans tout cela ??

  3. Calvet Véro

    Magnifique récit qui continue à me faire voyager et rêver

  4. Liliane BRASSET

    génial ça donne envie merciiiii de partager en effet vous avez mis la barre trés haute pour un début je vous souhaite autant de plaisir pour la suite affectueux baisers à tous….et bon vent

    1. Aurélie Frastel

      En effet, le début du voyage a dépassé nos attentes ! Pour la suite… On prendra tout ce qui vient 🙂
      Gros bisous à vous

  5. Caroline

    J’adore !! On dirait qu’on voyage aussi !!
    Bises à tous

  6. Richard

    Wouah, quelles superbes aventures pour toute votre famille et merci de me faire voyager tout en lisant votre récit.Bonne continuation à tous les 4

  7. Richard

    Superbe récit. Wouah vous vivez des aventures fantastiques tous les 4,merci pour le partage Aurélie et bonne continuation.

  8. Beon

    Nous apprécions la relation de votre périple et attendons la suite.
    Bravo
    A et j beon

  9. Hélène MULLER

    Quel voyage, Aurélie, quelle découverte ! J’aurais bien aimé continuer à parcourir l’Afrique avec vous.
    Mais l’aventure vous entraîne ailleurs et j’attends maintenant le récit chilien avec impatience.
    Bon vol et bonne route à vous quatre:-)

  10. Gaultier Françoise et Christian.

    Vraiment un très grand bravo à Léa qui nous fait voyager en rêvant…
    Surtout profitez bien de ces moments uniques !. Soyez heureux tous les quatre avec ces expériences enrichissantes.
    Encore bravo pour la qualité des textes et le respect de notre langue si riche.
    En attendant de vous lire à nouveau…
    Gros bisous à vous quatre.
    Françoise et Christian.

  11. Jocelyne

    Magnifique! que de beaux souvenirs pour vous et les filles.
    On a hâte de lire la suite de vos aventures.

  12. Martine Périer

    Quelle découverte à travers vos récits je me régale rien que de vous lire.
    A bientôt dans les prochains récits
    Martine

  13. mannarini roland

    immense plaisir de rêver à ma lecture de vos exploits touristiques
    encore encore

  14. Virginie

    Un mot pour tout ça
    GÉNIAL

    enfin non deux
    MERCI

  15. Annette

    Bravo pour cette première escale africaine !!!

    Un GRAND MERCI pour ce carnet de voyage à plusieurs mains 😉

  16. Chantal MEI

    Votre première étape à été riche en émotions et vous avez vécu plein de bons moments que nous partageons avec vous !! Très bonne continuation vers l’Amérique du Sud !! Et avec la suite du journal de Lilly et de super Meuh bien sur !!
    Chantal

  17. renée LEFEVRE

    Merci pour tous ce petit journal qui fait rêver. Bonne continuation.